Langue
Login

Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site
Nzickonan Stéphanie

Nzickonan Stéphanie

La Conférence des Nations Unies sur l’eau s’est achevée ce vendredi, après trois jours de débats, par l’adoption d’un Programme d’action pour l’eau dans lequel les Etats membres s’engagent à accélérer les progrès vers l’objectif visant à garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et à assurer une gestion durable des ressources en eau.

Voici la déclaration du Secrétaire Général de l’ONU

Monsieur le président,

Excellence,

Chers collègues,

Chers amis

Je remercie sincèrement les pays bas et le Tadjikistan d’avoir co-organisé cette conférence, une conférence charnière, à mi-parcours de la décennie d’action pour l’eau. Je remercie également le président de l’assemblée générale, ainsi que les représentants des gouvernements à tous les niveaux, qui ont participé, je remercie aussi les scientifiques, le monde universitaire, les peuples autochtones, l es groupes de la société civile, les membres du secteur privé et les jeunes qui se sont joint à nous. Ensemble, votre vision ambitieuse et votre attachement à l’action et à la transformation nous propulse vers un avenir durable, équitable, inclusif, et sur le plan hydrique, pour les peuples et la planète.

Cette conférence a dévoilé une vérité centrale : en tant que bien commun mondial, le plus précieux pour l’humanité, l’eau nous unit tous et toutes.  Cela coule à travers différents défis mondiaux, l’eau c’est la sante, l’assainissement, l’hygiène, la prévention des maladies, l’eau c’est la paix, l’eau c’est le développement durable, c’est la lutte contre la pauvreté, c’est le fonctionnement des systèmes alimentaires, c’est la création d’emploi et de prospérité. L’eau, ce sont les droits humains et l’égalité de genres. C’est pourquoi l’eau doit se trouver au cœur des entreprise politiques mondiales. Tous les espoirs de l’humanité pour l’avenir, dépendent d’une manière ou d’une autre, de la création d’un nouveau cadre fondé sur la science, afin de donner corps au programme d’action pour l’eau. Ces espoirs dépendent de la réalisation des engagements inclusifs axés sur l’action, et changeurs de donnes, formulés par les états membres lors de cette conférence. Cela signifie de renforcer la place de l’eau en tant que droit humain fondamental. Cela signifie de réduire les pressions exercées sur le système hydraulique et de garantir des décisions et des politiques intelligentes. Cela signifie de mettre au point des systèmes alternatifs nouveaux, afin de réduire l’utilisation non durable de l’eau dans la production alimentaire et l’agriculture ; cela signifie de mettre au point et de mettre en œuvre un nouveau système hydrique mondial afin d’orienter les plans et priorités d’ici à 2030. Cela signifie d’intégrer une approche réunissant eau, écosystème et climat afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cela inclut aussi de mettre au point des infrastructures, des stations d’épuration des eaux usées résilientes, et de garantir à chacun le droit d’être protégé grâce à des systèmes d’alerte rapide contre les catastrophe d’ici 2027. Cela signifie de continuer de combattre pour la justice climatique, et pour la santé afin de réduire le réchauffement climatique et de le limiter à 1,5 degré Celsius. Cela signifie d’accélérer considérablement la mobilisation des ressources et des financements, dans la capacité des pays à atteindre l’ODD6. Différentes mesures de suivi sont en cours d’examen notamment la nomination tel que recommandé, d’un envoyé spécial pour l’eau afin de mettre au premier plan l’importance de l’eau en vue du sommet sur les ODD en septembre et du sommet pour l’avenir en 2024.

J’attends avec intérêt d’examiner notre progrès lors des réunions de haut niveau en juillet et je peux vous assurer le soutien du système des nations unies à toutes les étapes.

Il ne peut y avoir de développement durable sans eau. A l’heure ou cette conférence historique touche à sa fin, réaffirmons notre engagement au service de notre avenir commun. Prenons à présent de nouvelles mesures pour bâtir un avenir ou l’eau sera garantie pour tous. Une fois de plus, je remercie les pays bas, le Tadjikistan ainsi que le président de l’Assemblée Générale, pour leur leadership.

Vous avez rassemblé le monde afin de résoudre le défi de l’eau et de renforcer la collaboration internationale autour de cette ressource vitale, et je remercie toutes celles et tous ceux qui ont abreuvé cette conférence de leurs idées, et contribué à l’élaboration d’un programme d’actions pour l’eau.

Maintenant, c’est le moment d’agir

La Conférence des Nations Unies sur l'eau, qui se tient à l’occasion de la journée mondiale de l’eau, s'est ouverte le mercredi 22 mars 2023,  au siège de l’ONU, à New York.  Plusieurs Chefs d’Etats et de gouvernements, des ministres, des organisations de la société civile, dont l’Association Africaine de l’Eau et de l’Assainissement (AAEA), prennent part à cette rencontre dont le thème est : ‘’accélérer le changement’’.

Au cours de la cérémonie d’ouverture, le Secrétaire Général de l'ONU, António Guterres, a souligné que l'eau est un droit humain et qu'elle est à la base de tout effort de développement tendant à façonner un avenir meilleur.

« Mais l’avenir de l’eau est compromis », a-t-il averti. « Nous drainons l’humanité de sa substance vitale par la surconsommation vampirique et l’utilisation non durable que nous faisons de l’eau, et nous provoquons son évaporation en réchauffant la planète. Nous avons brisé le cycle de l’eau, détruit les écosystèmes et contaminé les eaux souterraines».

António Guterres a appelé les décideurs participants à la réunion, à trouver des solutions révolutionnaires à la crise mondiale de l'eau.

Il a invité à un investissement massif dans les systèmes d’eau et d’assainissement et à faire de la résilience une priorité. ‘’ Nous ne pouvons pas faire face à cette urgence du 20è siècle avec des infrastructures d’un autre âge. Cela demande d’investir dans les canalisations, les infrastructures de distribution d’eau et des stations d’épuration qui sont résilientes face aux catastrophes. Cela nécessite de nouveaux moyens de recycler et de conserver l’eau … cela nécessite d’envisager de nouveaux partenariats publics-privés dans nos activités’’. a dit le Secrétaire Général.

Dans son allocution, le Président de l'Assemblée Générale des Nations Unies, Csaba Kőrösi, a pour sa part appelé à des politiques intégrées d'utilisation des terres, de l'eau et du climat, qui feraient de l'eau « un levier d'atténuation et d'adaptation au climat », qui renforceraient également la résilience, tant pour les personnes que pour la nature, et lutteraient contre la faim croissante dans le monde.

‘’L'eau qui coule librement dans les rivières, a-t-il dit, qui traverse les frontières et qui est distribuée sur l'ensemble de la planète fait aujourd'hui cruellement défaut… Nous avons urgemment besoin d’arrêter de polluer l’eau ; sécuriser l’eau devrait être notre priorité. Nous devons garantir l’accès à l’eau potable et un assainissement adéquat à tous, c’est un droit humain et une question de dignité. Il a appelé à un travail collaboratif pour renforcer les parties prenantes et les Etats.

Pour la présidente du Conseil Economique et Social de l’ONU, Lachezara Stoeva, l’accès à l’eau et à l’assainissement restent encore une aspiration pour des millions de personnes dans le monde, particulièrement dans les pays pauvres et les communautés marginalisées. ‘’Il est clair que des actions sont nécessaires, et elles le sont maintenant !’’ a-t-elle indiqué. ‘’Nous avons besoin d’un agenda ambitieux pour l’eau, si nous tenons à atteindre les Objectifs de Développement Durables’’. Pour ce faire, Lachezara Stoeva préconise l’inclusion de tous, ‘’y compris les communautés marginalisées et les femmes qui passent 2 millions d’heures par jour à chercher de l’eau’’, dans les recherches de solutions et les décisions relatives à l’eau. Ensuite, elle recommande la formation et le renforcement des capacités à tous les niveaux sur l’eau, l’accroissement des financements, le partenariat public privé et enfin le plaidoyer, pour que l’eau et l’assainissement soit inscrits dans les agendas des Etats.

Notons que la conférence des nations unies sur l’eau est co-organisé par le Royaume des Pays-Bas et le Tadjikistan. Elle prendra fin le 24 mars prochain.

En marge de la conférence des Nations Unies sur l’Eau qui se tient à New York, l’AAEA a signé une convention de partenariat avec l’Association Européenne de l’Eau. Ce partenariat vise à consolider et renforcer les relations entre les deux entités dans le domaine du plaidoyer, du renforcement de capacités, du partage de connaissances, des approches et des opportunités.

En marge du 21è Congrès de l’AAEA et la 7e Conférence FSM qui se tenaient du 19 au 23 février 2023 à Abidjan, l’Association Africaine de l’Eau et de l’Assainissement (AAEA) a signé deux accords de partenariats ; l’un avec l’Institut Fédéral Suisse de Technologie (EAWAG), et l’autre avec le Comité International de la Croix-Rouge (CICR).

L’accord avec EAWAG vise, selon Prof. Dr. Rik Eggen, Directrice Adjointe, à construire, consolider et renforcer la gestion et le partage des connaissances sur l'accès aux ressources en ligne liées à l'eau et à l'assainissement. En effet, l'AAE dispose d’une plateforme de partage de connaissances en ligne, où tous ses produits de connaissances sont accessibles aux membres, partenaires et parties prenantes. Afin d'étendre et d'enrichir cette plateforme, l'Association conclut des partenariats stratégiques avec des organisations sectorielles dans le monde entier.

En ce qui concerne le CICR, Le champ couvert par la collaboration est, aux dires de Guillaume Pierrehumbert, Directeur de l’Eau et de l’Habitat, l’amélioration des connaissances en matière de systèmes de gestion d’eau potable et d’assainissement d’une part et, le renforcement de la résilience des personnes touchées par la violence d’autre part. L’objectif recherché étant de renforcer la mission de l’AAEA afin de stimuler une économie durable, le développement et le progrès social dans la région, contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté et remplir le mandat du CICR qui est de porter assistance et protéger des victimes des conflits armés et des autres situations de violence.

Le  Directeur Exécutif de l’AAEA, Sylvain USHER se réjouit pour sa part de ces nouveaux partenariats, qui sont le signe de la crédibilité de l’association et de la confiance qu’elle inspire aux acteurs du secteurs.

D’autres partenariats et non des moindres, sont annoncés pour les jours à venir.

Le 21e Congrès International et Exposition de l'AAE et la 7e Conférence sur la gestion des boues de vidange se sont déroulés du 19 au 23 février 2023 à Abidjan, sous le thème / agir pour une gestion des ressources et un accès durable à l'eau et aux services d'assainissement pour tous en Afrique.

A l'issue de 4 jours de travaux, la déclaration suivante, dite : Déclaration d'Abidjan pour une gestion durable des ressources et un accès pour tous à l’eau et à l’assainissement en Afrique a été produite.

Nous Ministres en charge des questions d’eau et d’assainissement présents au 21ème congrès de l’Association Africaine de l’Eau et à la 07ème Conférence Internationale sur la Gestion des Boues de Vidange:

  1. Guidés par les principes et idéaux de la Charte de l’Organisation des Nations unies ;
  1. Reconnaissant le caractère essentiel de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement en toute sécurité pour le développement économique et social ;

Cliquez sur le lien pour lire la suite

Plus de 3000 délégués venus de partout dans le monde sont réunis à Abidjan, la capitale administrative de la Côte d’Ivoire, du 19 au 23 février, à l’occasion du 21è Congrès International et Exposition de l’AAE et la 7e Conférence sur la gestion des boues de vidange, de l’Alliance pour la gestion des boues de vidange. La Cérémonie d’ouverture de cet événement international a eu lieu ce lundi 20 février 2023, en présence du premier ministre de la Côte d’Ivoire, son Excellence Patrick Achi.

En prélude à son 21e Congrès et la 7e Conférence sur la gestion des boues de vidange, l’AAE organise, les 17 et 18 février à Abidjan, un atelier de renforcement des capacités des journalistes.

Ce sont au total, une vingtaine de professionnels des médias, venus de 20 pays d’expression anglophone et francophone d’Afrique, qui participent à cet atelier de renforcement. L’objectif de cet atelier est d’amener les professionnels des média à se familiariser avec les questions liées à l’eau et à l’assainissement et les amener à accompagner l’AAE dans la mise en œuvre de ses activités.

L’atelier qui a démarré ce vendredi a été ouvert par Dr Simeon Kenfack, Directeur des programmes de l’AAE.

Dans son allocution, celui-ci a souligné l’importance que revêtent, pour les populations africaines, les questions d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Selon lui, cet accès à l’eau et à l’assainissement, contribue au développement socio-économique de nos pays.

Il est indispensable, a-t-il indiqué, que les journalistes disposent de connaissances et de compétences afin de partager des informations justes sur l’importance de l’accès universel à l’eau potable et à des services d’assainissement adequats.

Nous vous exhortons, a-t-il fait savoir à l’endroit des journalistes, à utiliser vos plumes pour être des porte-voix et accompagner l’AAE dans ses plaidoyers, afin que les questions du secteur soient inscrites dans l’agenda des gouvernants africains. Il faut, a-t-il ajouté, que les hommes et femmes des médias travaillent de sorte à donner plus de visibilité à l’AAE et à renforcer sa notoriété.

La cérémonie d’ouverture a été suivie par des présentations sur la thématique de l’Assainissement.

Ainsi, Dr Mbaye, coordonnateur Sénior du programme assainissement de l’AAE, ainsi que Valentin Yao, Responsable des formations en assainissement, ont présenté la situation mondiale et africaine en matière d’assainissement, ainsi que le programme de l’AAE sur l’assainissement inclusif à l’échelle de la ville (CWIS), ses principes, étapes, outils et condition de mise en œuvre.

Dans leur présentation, ils ont mis l’accent sur les liens qui existent entre l’eau et l’assainissement. La plupart des villes des pays africains, ont-ils fait observer, sont confrontées à des problèmes d’assainissement majeurs. Une situation qu’il faudrait résoudre au plus vite, a-t-il recommandé, appelant les pays africains à œuvrer à ce que la priorité soit accordée à l’assainissement.

Les gouvernements, ont-ils dit, “pourraient créer un environnement propice afin de garantir que les services d’eau et d’assainissement soient correctement fournis ».

Il faut rappeler que cette rencontre des journalistes membres du réseau de l’AAE, se poursuivra avec la couverture médiatique des activités du congrès de l’AAE au 19 au 23 Février.

Dans le cadre de son programme de renforcement des capacités des acteurs africains du secteur eau-assainissement-Hygiène (Africap) sur financement de l’USAID, l’Association Africaine de l’Eau met en place des bourses de recherches pour les Jeunes Professionnels de l’Eau et de l’Assainissement. La cible des bénéficiaires de ces bourses est constituée des étudiants de niveau master et des ingénieurs en fin de formation. Chaque bourse, d’une valeur maximale de 1.000 (mille) USD permettra d’effectuer un travail de recherche sanctionné par un rapport scientifique sur une thématique du secteur Eau-hygiène et Assainissement.

Au cours des années académiques 2016-2017, 2017-2018 et 2018-2019, l'AAE a attribué soixante (60) bourses d'études aux étudiants provenant de onze (11) pays d'Afrique occidentale et centrale. 45 bourses seront attribuées à travers l'Afrique pour une période de trois ans (2021-2024). Pour l'année académique 2021-2022, quinze (15) bourses ont été attribuées à des étudiants de 13 pays. Pour l'année académique 2022-2023, quinze (15) autres bourses seront attribuées à travers l'Afrique.

Processus de candidature   

Les candidats à l’attribution d’une bourse d’études formuleront leurs sujets de recherche en relation avec l’un des thèmes proposés dans le présent appel à candidature. Ils pourront également faire acte de candidature avec l’un des sujets de recherche proposés par l’un des membres de l’AAE. Les sujets seront disponibles sur le site Internet de l’AAE. Pour faire acte de candidature, les postulants devront répondre aux critères suivants :

  • Etre citoyen d’un pays de l’Afrique subsaharienne éligible aux financements USAID ;
  • Etre en règle sur le plan académique vis à vis de leur institution ;
  • Présenter un dossier de candidature comprenant :
  1. La copie de la carte d’étudiant ou le reçu d’inscription de l’année en cours (Master 2)
  2. Le diplôme de Licence,
  3. Le curriculum vitae (max. 3 pages),
  4. Trois lettres de recommandation (l’une devrait être de l’encadreur académique) qui atteste par ailleurs que l’étudiant est inscrit en Master 2,
  5. La fiche projet à télécharger Cliquez pour télécharger la fiche de projet

 

Soumission

Les candidats doivent soumettre par voie électronique leur candidature simultanément aux adresses suivantes : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.  et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Pour toute demande ou clarification, veuillez envoyer un courriel à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

La liste des candidats retenus sera publiée sur le site Web de l’AAE : www.Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..org et chaque bénéficiaire recevra une notification officielle par email de l’AAE un jour avant la publication.

Délai de soumission

Les étudiants désireux de participer au programme sont priés de soumettre leur dossier complet de candidature au plus tard le 15 Avril 2023. La période de publication de la liste des bénéficiaires au titre de l’année académique 2022-2023 est fixée au 15 Juin 2023 au plus tard.

Liste des thèmes de recherche

Les thèmes retenus pour le présent programme de bourse pour l’année académique 2022-2023 sont les suivants :

  1. Approches de réduction de l’Eau Non Facturée dans les sociétés d’eau
  2. Amélioration de la Qualité de l’eau
  3. Services d'eau dans les zones urbaines à faible revenu
  4. Amélioration de l’assainissement urbain & péri-urbain
  5. Usage des TIC (outils digitaux) dans les services d’eau et d’assainissement
  6. Gestion de Ressource en eau
  7. Eau, Assainissement et genre.

Aspect financier

Dans le cadre de cette bourse d’études, le montant maximum alloué par bénéficiaire est de 1.000 US Dollars. Soixante pour cent (60%) de cette somme seront payés au bénéficiaire lorsque le plan détaillé du projet de recherche est finalisé, approuvé par l’encadreur de recherches et reçu par le Programme Recherche et Renforcement de capacités de l’AAE. Les quarante pour cent (40%) restant sont payés une fois que le bénéficiaire soumet la copie électronique de son rapport final de recherche.

Conditions de reportage

Les étudiants bénéficiaires de la bourse de recherche AAE devront régulièrement préparer et soumettre un rapport mensuel sur l'état d'avancement de leurs travaux et un rapport final en fin de projet.

Cliquez pour télécharger la fiche de projet

Le jeudi 19 janvier 2023, le président de l'AAE, Dr Silver Mugisha, a convoqué une assemblée générale mixte pour soumettre à l'approbation des membres les nouvelles catégorisations de membres de l'AAE et les nouveaux montants de cotisations annuelles.

Désormais, les municipalités, les institutions académiques, les régulateurs sont intégrés dans la catégorie des membres réguliers. Cette catégorie était initialement composée de services publics s'occupant de la production, de la distribution de l'eau, ainsi que de sociétés de patrimoine dans le secteur de l'eau, de l'assainissement et de l'environnement en Afrique.

Les organisations non gouvernementales, les industries, les divers prestataires de services et les sociétés de conseil en technologie sont également désormais inclus dans la catégorie des membres affiliés, initialement composée de sociétés africaines ou internationales du secteur de l'eau, de l'assainissement et de l'environnement telles que les associations professionnelles, et excluant celles incluses dans la catégorie des membres actifs.

Enfin, deux catégories distinctes de membres individuels ont été établies, les étudiants d'une part et les professionnels universitaires, les chercheurs ainsi que les consultants individuels d’autre part.

Il faut noter que les membres de l'AAE sont classés en quatre (4) catégories : les membres réguliers, les membres affiliés, les membres individuels et les membres d'honneur. Les membres honoraires sont des personnes qui ont rendu des services distingués à l'Association et ont contribué à bâtir sa réputation internationale.

Les critères pour la catégorie des membres d’honneur n'ont pas été modifiés.

Pour connaître le nouveau barème des cotisations, veuillez cliquer sur le lien : https://afwa-hq.org/index.php/fr/component/jdownloads/send/256-nouveaux-tarifs-new-fees/667-nouveaux-tarifs

 

Search